# LE PROF DE BRASSENS : Hall de la chanson les mardis 5, 12, 19 - samedi 16 octobre à 20h
Comment, grâce à l'influence de son prof de 3ème Alphonse Bonnafé, l’artiste adolescent devient un des plus grands chanteurs philosophes de son temps, ceci malgré le risque frôlé de la prison et le rejet de sa ville natale.
Le Prof de Brassens nous fait entrer dans la forge secrète où Brassens appris et cisela son art.
Deux ans avant ses actes de petite délinquance qui lui vaudront une condamnation et sa mauvaise réputation sétoise, le jeune Georges fit une rencontre qui s’avérera déterminante pour supporter l’épreuve, mais aussi pour façonner son art qui surpassera celui de tous ces pairs : en classe de 3e, alors qu’il déteste l’école depuis toujours, un jeune prof, ex-champion de boxe, lui fait sentir l’importance pour sa vie entière des Villon, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé…
« On était des brutes, à 14, 15 ans, et l’on s’est mis à aimer ces poètes. [...] grâce à ce prof, je me suis ouvert à quelque chose de grand. » Fort de ses grandes lignes qu’Alphonse Bonnafé avait commencé à tracer pour lui, Brassens a pu surmonter l’opprobre et l’enfermement dans sa petite ville, puis l’exil solitaire à Paris en pleine occupation, le STO en Allemagne, l’évasion et le retour clandestin à la capitale, les mois d’études des poètes dans sa chambre et d’écriture laborieuse… jusqu’à son éclosion comme poète indéniable et unique. Lors du couronnement qu’a représenté son entrée dans la prestigieuse collection « Poète d’aujourd’hui » de Seghers en 1963, c’est à son professeur de français Alphonse Bonnafé que Brassens commanda la préface qui fait la matière de ce spectacle. Il se donnera au Hall de la chanson à la Villette, mais sera créé dans la cité scolaire François Villon, Porte de Vanves, quartier « chaud » du 14e arrondissement.
# BRASSENS, LA MAUVAISE HERBE : Hall de la chanson les jeudis, vendredis à 20h30 et dimanches à 16h du 30 septembre au 21 octobre
Brassens, La Mauvaise Herbe est porté par quatre jeunes chanteuses et chanteurs accompagnés de trois musiciens. Réinterprétant, avec sérieux et humour, une vingtaine d’œuvres de Brassens, ce spectacle fait tomber les clichés attachés à l’homme pour faire réapparaître, à l’oreille comme à l’œil, le génie de l’auteur-compositeur. Si Hureau et Hussenet ont choisi de donner à voir un cimetière (suggéré par quelques tissus jetés au sol), c’est que la force de son propos est d’oser nommer la fragilité de la vie humaine et l’urgence d’en jouir avant qu’il ne soit trop tard. C’est dans ces eaux dignes d’un Orphée triomphant où navigue le poète, dans un théâtre aux couleurs de l’Espagne et de l’Italie, avec leurs Matamores et Tartuffes démasqués, emportées dans ses valises à Paris pour les confronter aux figures des grisettes de la Bohème de Montmartre et des titis des faubourgs de Paris, que La mauvaise herbe nous entraîne.
# BRASSENZ : spectacle-cabaret par la Génération Z : Hall de la chanson le lundi 18 octobre à19h30 - Salle des Fêtes du 15e le 20 octobre à 19h30.
Présentation du spectacle conçu par les élèves du Théâtre-Ecole du Hall de la Chanson et ceux de certains conservatoires parisiens tant au Hall de la Chanson que dans certains lieux emblématiques pour cette nouvelle génération.
# CAFÉ CHANTANTS : le 20 octobre au Café-Boeuf du Hall de la chanson Parc de la Villette à 20h.
Brassens aimait les cafés de son quartier. A la villette Le Hall de la chanson, Centre National du patrimoine de la chanson, en plus de créer des spectacles avec les artistes les plus aguerris donne régulièrement rendez-vous au public pour des séances de Cafés-chantant. Là il ne s’agit plus d’être spectateur et de chanter soi-même, en groupe ce qui est plus encourageant, dirigé par un ou une artiste et vaccompagné par un musicien. Les chansons qu’on chante sont pour la plupart connues. Et comme comme on s’y reprend à plusieurs fois c’est magnifique. Outre d’y éprouver le plaisir de chanter mine de rien on y apprend beaucoup. Et à la pause on déguste un verre offert avant de s’y remettre. À la fin on a partagé deux heures de paroles et musique loin du brouhaha quotidien !
On chantera : La mauvaise réputation - Les bancs publics - L’auvergnat - Les copains d’abord - Le gorille - Les passantes - https://www.lehalldelachanson.com/agenda/cafe-chantant-brassens
# 1er BAL - SUR LES PAS DE BRASSENS : Le 17 octobre – Parc Georges Brassens (15ème)
Pour devenir les ambassadeurs et stimulateurs du Grand Bal du Centenaire, un groupe de jeunes collégiens de la classe de danses contemporaine et urbaine du conservatoire Darius Milaud se préparent. Ils étudieront à l’avance les chorégraphies qu’ils transmettront au public le jour J. Ils seront guidés par la chorégraphe Dominique Rebaud et leur professeure Madame Pierre-Jacquemin avec lesquelles ils créeront même une des danses du Grand Bal.
Et pour devenir à notre tour ambassadeurs du Bal, le Hall de la chanson avec le jeune danseur Yohann Jolly proposera des vidéos-tutos accessibles sur les sites du Hall de la chanson et de la mairie.
# 2e BAL - LE GRAND BAL DU CENTENAIRE : Le 22 octobre 2021 - Parvis de la mairie du 14ème arrondissement
Sur le principe du bal moderne de Michel Reilhac, ce grand bal invite à vivre les musiques de l’artiste. Son œuvre est tout empreinte de la sensualité de ses racines sétoises, frontalières de l’Espagne et de l’Italie. Les musiques de ce bal sont mâtinées de swing gitan tout autant que de carnaval occitan ou de musique des troubadours. Clément Caratini propose un détonant et torride mélange, porté par 6 artistes aux instruments et à là voix, associant de nombreuses chansons de Brassens.Les danses, véritables petites chorégraphies créées par Dominique Rebaud peuvent être dansées par tous, quels que soient les âges, les genres et les physiques. Elles seront transmises en direct au public par elle et Yohann tous deux pétris de danses traditionnelles et contemporaines. Au cœur du public les jeunes danseurs du conservatoire du 14 ème joueront les ambassadeurs.
Plus d'infos dans le dossier ci-joint et sur le site : https://www.lehalldelachanson.com